Quelques mois avant la fin de l’exercice budgétaire précédent, l’Assemblée nationale du Burundi adopte à l’unanimité le projet de loi des finances pour l’exercice budgétaire 2025-2026. Exposé par l’actuel ministre des Finances, du Budget et de la Planification économique Nestor Ntahontuye, le futur budget de l’État ambitionne réduire le déficit par rapport à l’exercice précédent Marqué par un important déséquilibre avec 4 790 milliards de BIF de recettes sur les dépenses projetés à 5 227 milliards BIF, le projet de loi des finances publiques pour l’exercice budgétaire 2025-2026 présente une…
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Burundi : Combattre les pots de vins sans plan de guerre ?
Alors qu’une lueur d’un vrai combat contre les pots de vins se dessine aux plus hautes sphères du gouvernement du Burundi, la trajectoire reste encore nuageuse quant à la stratégie nationale de lutte contre la corruption. La Parole en Action pour le Réveil des Consciences et l’Évolution des Mentalités (Parcem) plaide pour un plan de guerre Préoccupée par les drastiques conséquences de la corruption sur le développement au Burundi, plusieurs voix crient au casse-pipe de la corruption au moment où l’opération piétine à tous les niveaux. Dans un atelier d’échanges…
Le faible taux de décaissement : un défi chronique à l’opérationnalisation effective des projets financés par la Banque mondiale au Burundi ?
Le taux de décaissement tronque considérablement au Burundi pour l’année fiscale 2025 en dépit des sommes colossales allouées au Burundi par la Banque mondiale. Le Premier ministre du Burundi hausse le ton à tous les coordonnateurs des projets Comparé aux chiffres de l’année précédente, le Burundi enregistre un faible taux de décaissement à moins de trois mois de l’année fiscale 2025. « Le taux de décaissement est de 13,3% sur les prévisions de 25% pour l’enveloppe de la Banque mondiale aux projets du Burundi au cours de l’exercice 2024-2025 », indique…
Quand le prêt-bourse fait une superbe Société d’emballage biodégradable
Malgré la vie précaire à l’université du Burundi, certains des étudiants serrent la ceinture pour réussir la vie postuniversitaire. Alors les études universitaires prennent tout le temps aux étudiants, René Dusabe réussit à être au four et au moulin. Submergé par des dépenses excédant toujours leur revenu, certains des étudiants de l’université du Burundi se battent bec et ongle pour la vie post universitaire dans les enceintes du cercle académique « C’est grâce à l’épargne de 11.000f grignoté au prêt-bourse de 100.000F perçu mensuellement à la BCB que j’ai pu démarrer…
Protection civile : Un manque du matériel qui dérange les actions bienfaitrices
Face à l’insuffisance du matériel de secours, la gestion des catastrophes naturelles mettent sur la sellette les actions de la Protection civile dans certains endroits stratégiques au Burundi. Alors que le problème perdure, la direction de la protection civile et #de la gestion des catastrophes rassure. Le manque du matériel de secours complique le combat de la gestion des catastrophes naturelles et de la protection civile au Burundi. « Nous ne pouvons pas jusqu’alors combattre des éventuelles incendies en haut des édifices en étages suite à l’absence des camions anti-incendies à…
Stabilité politique : la PARCEM annonce la couleur au moment où le Burundi entame sa décennie électorale de 2025 à 2035.
A quelques mois des élections au Burundi, la Parole en Action pour le Réveil des Consciences et l’Évolution des Mentalités (PARCEM) organise le lundi 3 Mars 2025 un atelier d’échange sur la gestion des conflits électoraux. Des acteurs de la société civile, des hommes politiques, des spécialistes chercheurs mettent en lumière les défis et opportunités : Face l’imminence de l’heure du scrutin, la stabilité politique enquiquine les sphères politiques et de la société civile au Burundi. « Les objectifs de la vision d’un Burundi, pays émergent en 2040 et…
L’Université du Lac Tanganyika, une institution privée qui fascine tous
Étiquetées de dispensatrices de mauvaise qualité de formation, certaines universités privées la mairie de Bujumbura font des miracles au monde professionnel du Burundi. Le Rectorat de l’Université du Lac Tanganyika vante sa différence lors de l’accueille de 1200 nouveaux étudiants pour l’année académique 2024-2025, L’Université du Lac Tanganyika accueille la 25è promotion d’étudiants dans un climat marqué par de nombreux défis. « Nous organisons des cours quitte à ce que les étudiants viennent étudier et rentrer un peu tard sans retour dans l’optique de leur préserver la fatigue exagérer mais…
Jobs à l’étranger, une perle trop convoité des jeunes chômeurs burundais.
Aussitôt sorties des lèvres du chef de la diplomatie burundaise, les accords d’opportunités de jobs à l’étranger bousculent les jeunes burundais. Alors que l’Arabie Saoudite s’apprête à accueillir jusqu’à 25000 travailleurs burundais en trois ans certains des jeunes dansent sur leur tête En proie au chômage, certains jeunes burundais se battent bec et ongle pour gagner le biftèque ailleurs à l’annonce des accords d’opportunités de jobs à l’étranger. « Qu’il soit vrai ou faux, seules les conditions exigées pour être éligible à faire du job en Arabie Saoudite nous préoccupent…
La sécurité alimentaire préoccupe les jeunes entrepreneurs burundais
Préoccupé par la sécurité alimentaire de tous les burundais surtout les plus démunis, l’association HABA na HABA Food Banking se bat bec ongle pour un avenir radieux à l’horizon de 2060. Alors que les mendiants augmentent d’année en année, l’association projette réduire la mendicité jusqu’à zéro dans les grandes villes. En dépit des multiples défis financiers, certains des jeunes burundais font de la sécurité alimentaire une priorité. « C’est à cause du chômage et surtout le faible pouvoir d’achat de la population, à l’origine de l’augmentation du nombre de mendiants dans…
L’absence à l’international de made in Burundi, une réelle obsession des jeunes entrepreneurs
L’absence de Made in Burundi aux marchés africains et internationaux débecte les jeunes entrepreneurs burundais. Alors que les marques étrangères abondent seules sur tous les marchés du pays, la Société Batera collection produisant des sacs à main rêve avoir un jour le vent en poupe. L’absence de Made in Burundi aux marchés africains et internationaux fait chavirer le cœur des jeunes entrepreneurs burundais. Alphonsine Irakoze, directrice de Batera Collection produisant des sacs à main travaille d’arrache-pied pour changer la situation. Déterminée à faire briller les made in Burundi à…